Iode Fort Djform

Un concentré naturel d’iode pour l’équilibre de la thyroïde

Le laminaire (laminaria japonica), aussi connue sous le nom de kombu, est une algue brune originaire du Japon riche en iode, en sels minéraux et en oligo-éléments (chrome, molybdène, manganèse, sélénium, sodium, potassium, magnésium). Elle contient également des polysaccharides, du fucoïdane et des alginates notamment, aux vertus antioxydantes et anti-inflammatoires, utiles dans la lutte contre les radicaux libres.

Largement utilisée dans la cuisine japonaise et notamment dans le fameux régime d’Okinawa, elle est traditionnellement utilisée pour sa richesse en iode, un oligo-élément favorisant la production des hormones thyroïdiennes, notamment dans les cas de carence.

Lutter contre les carences en iode

Pourquoi pouvons nous être carencés en iode ?

De manière générale, notre alimentation est pauvre en iode. Les aliments issus de l’agriculture et de l’élevage (légumes, fruits, céréales, légumineuses, oléagineux, viandes et produits laitiers bio) n’en contiennent pas ou peu du fait de la faible concentration en iode des sols européens, d’autant plus lorsqu’on s’éloigne des côtes.

Mis à part certains sels raffinés industriels enrichis en iode, le sel de table, les sels de mer et les sels naturels n’en contiennent pas. Or, ils sont plus recommandés pour la consommation que le sel raffiné.

Du fait des habitudes alimentaires actuelles, notre consommation d’iode est ainsi souvent trop irrégulière et trop rare pour couvrir nos besoins quotidiens.

En effet, les sources alimentaires d’iode proviennent essentiellement des produits de la mer dont les crustacés, les fruits de mer et les poissons gras qui ne sont généralement pas consommés quotidiennement. Les algues marines, qui sont une source intéressante d'iode, ne font pas non plus partie des habitudes alimentaires du plus grand nombre. Les algues peuvent avoir une teneur importante en iode. Ainsi, ne pas savoir gérer leur consommation peut à l’inverse nous exposer à un excès en iode.

C’est pourquoi dès 1972, pour lutter contre les carences répandues en iode, les industriels ont enrichi le sel de table en iode.

Pour autant, le sel bon marché, fin et raffiné, est à éviter au quotidien. En effet, il contient parfois d’autres substances dont on ne connaît pas les impacts sur notre santé. D’abord, le fluor et/ou l’iode. Cet ajout est remis en question : l’excès d’iode comme de fluor ont des impacts sur notre santé. Par ailleurs, le sel de table contient généralement des anti-agglomérants, pour éviter qu’il s’humidifie : ferrocyanure de sodium, dont on s'interroge toujours sur les effets sur la santé alors qu’il est largement utilisé, ou encore phosphates, dioxydes de silicium ou dérivés de l’aluminium. Le sel fin est, enfin, quelques fois passé sous des rayons ionisants pour une meilleure conservation, alors qu’on ne connaît pas les conséquences possibles de cette irradiation sur la santé.

Pour le sel, il n’existe pas de label bio, utilisable simplement pour les produits agricoles. Il est plutôt recommandé d’opter pour du sel marin non raffiné et de vérifier la liste des ingrédients pour s’assurer qu’ils ne comportent que du sel.

Il est à noter également qu’une consommation importante et fréquente de certains aliments comme les crucifères (choux) peut augmenter le risque de carence en iode. En effet, ils peuvent provoquer une expulsion trop importante de l’iode dans les urines.

Signes visibles d’une carence en iode :

A l'origine, le chasseur-cueilleur retournait à certaines saisons près des côtes pour se nourrir des produits de la mer, notamment en hiver. La sédentarisation loin des mers et des océans a fait apparaître des problèmes de santé liés à la carence en iode.

Du fait qu'il est préférable de consommer du sel naturel et que la consommation de crustacés, de poissons gras et d'algues peut être insuffisante ou trop irrégulière, il peut facilement y avoir des carences.

Parmi les symptômes visibles d’une déficience en iode, on retrouve le goître, une peau bouffie, une voix rauque, une altération des fonctions mentales (perte de mémoire notamment), une peau sèche et squameuse, des cheveux raréfiés et rêches, une intolérance au froid et un gain de poids. Les autres symptômes communs sont la fatigue et la perte de tension, la déprime, la perte d’appétit, les crampes et la constipation.

En effet, le manque d’iode a souvent pour conséquence une hypothyroïdie, un dérèglement de la glande thyroïde essentielle à la synthèse des hormones qui régulent notre corps. La carence peut aussi être associée à des problèmes de fertilité.

Parfois, la présence de ces symptômes en dehors d’une hypothyroïdie avérée pourrait tout de même être liée à un fonctionnement au ralenti de notre thyroïde. Certaines études suggèrent que le manque d’iode entraîne un moindre fonctionnement de la thyroïde, lui-même conduisant à ce qu’on appelle le “métabolisme écroulé” (métabolisme lent ou inefficace) et à une prise de poids, notamment.

Risques liés à une surdose en iode :

Il est à noter que la consommation d’algues, sous toutes ses formes, doit être modérée à cause des risques d’excès d’iode qu’une consommation régulière et trop importante peut entraîner. Il est donc difficile de bien doser nos apports en iode en consommant des algues, certaines en contiennent beaucoup trop. Des problèmes thyroïdiens ont pu être fréquemment observés chez les populations japonaises et coréennes qui consomment très fréquemment des algues fraîches ou séchées dans leur régime alimentaire.

L’excès chronique d’iode provoque “des effets indésirables tels que des diarrhées et céphalées, plus rarement des dermites et jusqu’à un dysfonctionnement cardiaque, surtout chez les sujets de plus de 50 ans” selon un avis de l’ANSES de 2018. Il peut être à l’origine de dérèglements thyroïdiens menant à l’hyperthyroïdie ou l’hypothyroïdie.

Dans le cas où notre consommation de crustacés, de poissons ou d'algues est insuffisante pour couvrir nos besoins quotidiens en iode, notre produit Iode Fort, qui est parfaitement dosé pour un apport de 150 µg, soit 100% des apports journaliers de référence afin de parer tout risque de surdose, est une solution simple, efficace et naturelle de couvrir nos besoins en cet oligo-élément essentiel.

Quels sont les risques pour la santé en cas de déficience ?

Si les risques de consommer un excès d’iode sont rares, en revanche, les conséquences d’une insuffisance voire d’une carence en iode sont graves. Une déficience en iode est associée à une augmentation de volume de la thyroïde avec l’apparition d’un goître. Les formes de carence peuvent conduire à une hypothyroïdie et provoquer fatigue, sensibilité au froid, prise de poids, etc.

Chez les enfants, lorsque la femme enceinte ou allaitante n’en apporte pas suffisamment et plus tard, au cours de la croissance, la carence en iode peut notamment entraîner un important retard mental, irréversible, désigné sous le terme de crétinisme, une affection particulièrement courante au 19e siècle, notamment chez les populations montagneuses très éloignées de toute source d’iode.

Les besoins en iode sont variables selon l'âge, le sexe, les situations physiologiques et nécessaires à tout un chacun.

Selon l'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation), les besoins en iode sont évalués à :

• 80 microgrammes chez les enfants de 1 à 3 ans,
• 90 microgrammes chez ceux de 4 à 6 ans,
• 120 microgrammes jusqu'à 9 ans,
• 150 microgrammes à partir de 12 ans et chez l’adulte,
• 200 microgrammes chez la femme enceinte.

Il ne faut pas dépasser un apport de 600 microgrammes par jour.

Pourquoi prendre de l’Iode Fort Djform ?

Une supplémentation en iode naturel :

Nous recommandons une supplémentation par iode pour :

• les végans et les végétariens qui n’intègrent pas de produits de la mer dans leur alimentation,
• les personnes qui ne consomment pas de sel enrichi en iode chimique ajouté mais du sel naturel non iodé,
• les personnes qui consomment peu, pas assez ou pas du tout d’aliments issus de la mer,
• les nombreuses personnes qui consomment peu ou pas du tout ou devraient limiter fortement leur consommation de produits laitiers,
• les fumeurs dont les pertes de vitamines et oligo-éléments essentiels sont extrêmement fréquentes.

Les recommandations officielles :

L’iode est principalement recommandée pour favoriser la synthèse des hormones thyroïdiennes ou pour se complémenter en cet oligo-élément.

L’EFSA liste 5 allégations de santé autorisées concernant l’iode*. Il contribue :

• à la production normale d’hormones thyroïdiennes et à une fonction thyroïdienne normale,
• à une fonction cognitive normale et au fonctionnement normal du système nerveux,
• au maintien d'une peau normale,
• à un métabolisme énergétique normal.

*Source: EFSA - Liste des allégations de santé autorisées

Pourquoi a-t-on choisi les gélules en pullulan pour nos produits Djform ?

La “gélule végétale HPMC” n’a de végétal que le nom ! Derrière une façade marketing, la gélule végétale en HPMC contient en fait des résidus de produits chimiques. Pour toujours vous proposer des produits les plus qualitatifs possibles, DJFORM utilise les gélules en pullulan, convenant aux régimes végétariens, végétaliens et végan. En lieu et place d'une cellulose de bois non digeste pour la gélule végétale de type HPMC, les gélules en pullulan sont des produits alimentaires, un amidon de tapioca que notre corps est capable de digérer.

Pour en savoir plus : Les gélules des produits Djform, le choix de la qualité et de la sécurité.